Azel

— Textes-courts — 019 —

Florent

Endorphine

(:table border=0 width=100% cellspacing=0 cellpadding=0 class=infotab:) (:cellnr class=infott:) (:cell class=w10:) (:cell class=border-top:) (:cellnr class=infott:)Réflexion et inspiration : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)- (:cellnr class=infott:)Principe : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)- (:cellnr class=infott:)Contrainte : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)- (:cellnr class=infott:)Date : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)Avril 2014 (:cellnr class=infott:)Longueur du texte : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)755 (:cellnr class=infott:)Nombre de mots : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)141 (:cellnr class=infott:) (:cell class=w10:) (:cell class=border-bottom:) (:tableend:)

(:table border=0 width=100% cellspacing=0 cellpadding=0 class=poetab:) (:cellnr class=poedeb:) (:cellnr class=poetxt:)Aujourd'hui c'est dimanche 30 mars, jour du seigneur, soit 2000 ans de coulisse, je me lance un défi, atteindre 4 km, sur une distance de 50 mètres par longueur, sans commettre un arrêt même municipal. Arriver au 3 kilomètres je commence à sentir un léger malaise, je n'avais plus la sensation de glisser, de marquer mes appuis, mais d'être un corps flottant brassé par une marée. Comme ces petits bois trouvés sur les plages, si érodés et légers. Une fois détendu les sensations d'endorphines ont été décuplés, c'est drôle comme j'avais oublié ce bien-être. Nul doute qu'il y aura une continuité. Saviez-vous que la morphine est un dérivé de l’endorphine. Se faire mal pour se faire du bien, kamikaze, fou, non, j'ai juste mis le doigt dans l'engrenage. (:cellnr class=poefin:)

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