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Historique de Grands-textes.Leconte-de-lisle-dans-le-ciel-clair
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vendredi 18-avril-2014
par Kisqo -
Ligne 10 Modifiée:
en:
Lignes 14-19 Modifiées:
(:cellnr class=poetxt:)Dans le ciel clair rayé par l’hirondelle alerte,
Le matin qui fleurit comme un divin rosier
Parfume la feuillée étincelante et verte
Où les nids amoureux, palpitants, l’aile ouverte,
À la cime des bois chantent à plein gosier
Le matin qui fleurit comme un divin rosier
en:
(:cellnr class=poetxt:)Dans le ciel clair rayé par l’hirondelle alerte, Le matin qui fleurit comme un divin rosier Parfume la feuillée étincelante et verte Où les nids amoureux, palpitants, l’aile ouverte, À la cime des bois chantent à plein gosier Le matin qui fleurit comme un divin rosier\\
Lignes 22-27 Modifiées:
En grêles notes d’or, sur les graviers polis,
Les eaux vives, filtrant et pleuvant goutte à goutte,
Caressent du baiser de leur léger roulis
La bruyère et le thym, les glaïeuls et les lys ;
Et le jeune chevreuil, que l’aube éveille, écoute
Les eaux vives filtrant et pleuvant goutte à goutte
en:
En grêles notes d’or, sur les graviers polis, Les eaux vives, filtrant et pleuvant goutte à goutte, Caressent du baiser de leur léger roulis La bruyère et le thym, les glaïeuls et les lys ; Et le jeune chevreuil, que l’aube éveille, écoute Les eaux vives filtrant et pleuvant goutte à goutte\\
Lignes 30-36 Modifiées:
Le long des frais buissons où rit le vent sonore,
Par le sentier qui fuit vers le lointain charmant
Où la molle vapeur bleuit et s’évapore,
Tous deux, sous la lumière humide de l’aurore,
S’en vont entrelacés et passent lentement
Par le sentier qui fuit vers le lointain charmant,
en:
Le long des frais buissons où rit le vent sonore, Par le sentier qui fuit vers le lointain charmant Où la molle vapeur bleuit et s’évapore, Tous deux, sous la lumière humide de l’aurore, S’en vont entrelacés et passent lentement Par le sentier qui fuit vers le lointain charmant,\\
Lignes 38-43 Modifiées:
La volupté d’aimer clôt à demi leurs yeux,
Ils ne savent plus rien du vol de l’heure brève,
Le charme et la beauté de la terre et des cieux
Leur rendent éternel l’instant délicieux,
Et, dans l’enchantement de ce rêve d’un rêve,
Ils ne savent plus rien du vol de l’heure brève,
en:
La volupté d’aimer clôt à demi leurs yeux, Ils ne savent plus rien du vol de l’heure brève, Le charme et la beauté de la terre et des cieux Leur rendent éternel l’instant délicieux, Et, dans l’enchantement de ce rêve d’un rêve, Ils ne savent plus rien du vol de l’heure brève,\\
Lignes 46-51 Modifiées:
Dans le ciel clair rayé par l’hirondelle alerte
L’aube fleurit toujours comme un divin rosier ;
Mais eux, sous la feuillée étincelante et verte,
N’entendront plus, un jour, les doux nids, l’aile ouverte,
jusqu’au fond de leur cœur chanter à plein gosier
Le matin qui fleurit comme un divin rosier
en:
Dans le ciel clair rayé par l’hirondelle alerte L’aube fleurit toujours comme un divin rosier ; Mais eux, sous la feuillée étincelante et verte, N’entendront plus, un jour, les doux nids, l’aile ouverte, jusqu’au fond de leur cœur chanter à plein gosier Le matin qui fleurit comme un divin rosier\\
Ligne 52 supprimée:
vendredi 18-avril-2014
par Kisqo -
Lignes 1-57 ajoutées:
— Poésie —
(:comment 010:)
Dans le ciel clair
Auteur : Leconte de Lisle
Recueil : Poèmes tragiques
Section : -
Description : -
Date : 1886
Historique : -
Longueur du texte : 1656
Nombre de mots : 311
(:table border=0 cellspacing=0 cellpadding=0 class=poetab:)
(:cellnr class=poedeb:)
(:cellnr class=poetxt:)Dans le ciel clair rayé par l’hirondelle alerte,
Le matin qui fleurit comme un divin rosier
Parfume la feuillée étincelante et verte
Où les nids amoureux, palpitants, l’aile ouverte,
À la cime des bois chantent à plein gosier
Le matin qui fleurit comme un divin rosier
Dans le ciel clair rayé par l’hirondelle alerte.
En grêles notes d’or, sur les graviers polis,
Les eaux vives, filtrant et pleuvant goutte à goutte,
Caressent du baiser de leur léger roulis
La bruyère et le thym, les glaïeuls et les lys ;
Et le jeune chevreuil, que l’aube éveille, écoute
Les eaux vives filtrant et pleuvant goutte à goutte
En grêles notes d’or sur les graviers polis.
Le long des frais buissons où rit le vent sonore,
Par le sentier qui fuit vers le lointain charmant
Où la molle vapeur bleuit et s’évapore,
Tous deux, sous la lumière humide de l’aurore,
S’en vont entrelacés et passent lentement
Par le sentier qui fuit vers le lointain charmant,
Le long des frais buissons où rit le vent sonore.
La volupté d’aimer clôt à demi leurs yeux,
Ils ne savent plus rien du vol de l’heure brève,
Le charme et la beauté de la terre et des cieux
Leur rendent éternel l’instant délicieux,
Et, dans l’enchantement de ce rêve d’un rêve,
Ils ne savent plus rien du vol de l’heure brève,
La volupté d’aimer clôt à demi leurs yeux.
Dans le ciel clair rayé par l’hirondelle alerte
L’aube fleurit toujours comme un divin rosier ;
Mais eux, sous la feuillée étincelante et verte,
N’entendront plus, un jour, les doux nids, l’aile ouverte,
jusqu’au fond de leur cœur chanter à plein gosier
Le matin qui fleurit comme un divin rosier
Dans le ciel clair rayé par l’hirondelle alerte.
(:cellnr class=poefin:)
(:tableend:)
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