(:table border=0 width=100% cellspacing=0 cellpadding=0 class=infotab:)

(:table border=0 width=100% cellspacing=0 cellpadding=0 class=poetab:)

— Poésie, vers libres — 087 —

(:table border=0 width=480 cellspacing=0 cellpadding=0 class=infotab:) (:cellnr class=infott:) (:cell class=w10:) (:cell class=border-top:) (:cellnr class=infott:)Réflexion et inspiration : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)Rêverie féminine. Texte édité dans le fascicule "Temps Libre", Atelier d'écriture, Mars 2014 (:cellnr class=infott:)Principe : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)Texte destiné à un livret A5, impression papier. (:cellnr class=infott:)Contrainte : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)30 lignes maximum, lignes blanches de paragraphe comprises (:cellnr class=infott:)Date : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)Février 2014 (:cellnr class=infott:)Longueur du texte : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)1111 (:cellnr class=infott:)Nombre de mots : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)194 (:cellnr class=infott:) (:cell class=w10:) (:cell class=border-bottom:) (:tableend:)

(:table border=0 width=560 cellspacing=0 cellpadding=0 class=poetab:)

Le fourneau bruisse, les parfums embaument nos sens bouleversés des parfums cuisinés.

Les nuits de vieillesse exaltées qu’il ne faut pas manquer.

Tu es le médecin de mon cœur quand il est fracassé.

— Textes poétiques —

— —

(:comment 00:)

Perception

(:table border=0 cellspacing=0 cellpadding=0 class=poetab:) (:cellnr class=poedeb:) (:cellnr class=poetxt:)Mon mari
Chaque jour, nous nous accompagnons mutuellement.
Tu es le pilier. Je suis le pilier.
Enfants, vous êtes les habitants de notre monde souterrain.
Jouez, courez, vivez, riez en cette maisonnée.
Le vent fracasse notre porte, la pluie tambourine sur le toit, la flambée nous réchauffe.
Le fourneau bruisse, les parfums embaument nos sens bouleversés des parfums cuisinés.

Mon amant
Les nuits enivrées endiablées de notre jeunesse.
Les nuits savamment orchestrées par nos fantasmes.
Les nuits de création aiguisant notre imagination.
Les douces nuits de tendresse et d’allégresse.
Les petites nuits de passion partagée à l’unisson.
Les nuits de vieillesse exaltées qu’il ne faut pas manquer.

Mon ami
Tu es mon confident, l’abîme où je jette mes rimes.
Tu es mon soutien, tes encouragements me bouleversent.
Tu es le défouloir à qui je confie mon désespoir.
Tu es tout à la fois quand je ne suis rien.
Tu es mon radeau, quand le temps n’est pas si beau.
Tu es le médecin de mon cœur quand il est fracassé.

Tu es la fantasmagorie de mon idéal.
Vite, une autre vie, pour que je te rencontre. (:cellnr class=poefin:) (:tableend:)