— Lettres — 096 —
Axaence
Lettre aux odieux
(:table border=0 width=100% cellspacing=0 cellpadding=0 class=infotab:)
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(:cellnr class=infott:)Réflexion et inspiration :
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(:cell class=c1:)Une histoire de famille, retour sur un copier-coller de l'enfance à la vie d'adulte
(:cellnr class=infott:)Thème :
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(:cellnr class=infott:)Principe :
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(:cellnr class=infott:)Contrainte :
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(:cellnr class=infott:)Durée :
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(:cellnr class=infott:)Date :
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(:cell class=c1:)Janvier 2014
(:cellnr class=infott:)Longueur du texte :
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(:cell class=c1:)2815
(:cellnr class=infott:)Nombre de mots :
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(:cell class=c1:)501
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(:cellnr class=poetxt:)Qu'importaient vos défauts, vos relans de méchanceté à l'égard de toute autre personne que vous, qui par sa couleur, qui par ses idées, qui par sa pauvreté, qui par sa richesse, nulle grâce à vos yeux à qui n'est pas là ! Envolées (odeur horrible : puante, fétide, viande )
La duchesse, prénom accordé d'une soeur à l'autre parce que son aisance matérielle est plus grande, mais ensensée en sa présence.
Les insupportables, prénom accordé, d'une soeur à l'autre, époux inclus, parce que la voix est plus forte dans la bataille des mots, mais ensensée en sa présence
Et moi à quelle sauce ais-je été mangée. Maintenant qu'ils sont alliés pour faire la guerre contre moi, la parole se libère : au trmps passé, interdiction de toucher à la vaisselle, je casse maladroitement leur verre si cher à remplacer, hos de ma bourse, je buvais dans le salaire d'ouvriers. Et de me reproche biens ans plus tard, de ne pas me lever le cul pour n'avoir pas fait cette vaisselle interdite.
Maman est encore affectée, il me faut encore bataillée et recommencer à être le réceptable de leur fabrique à mensonges, de leur vomissure de mot,
L'insupportable suffisence, le coeur fermé malgré l'amour qu'elles doivent éprouver pour leur mère, dire et deverser devant elle un verbiage fielleux sur son fils, leur frère, son moi sa fille, leur soeur.
texte
dialogue
Mon frère est décédé, quelques mois échappé, douleur intacte "Daniel est mort", mes soeurs en ces deux années ne le sont plus, elle reste les filles de ma mère, la loi nous considère toujours comme étant soeur, la loi juste la loi.
Comment se défendre contre la médisance, les situations inventées ? Comment un innocent peut se défendre contre ce qui n'a pas existé ?
Mes défauts sont nombreux, ma vie de souffrance de joie de déception, je la vois par le prisme de mon amour pour les autres. Si vos dédains et vos mépris m'ont permis de m'échapper vers cette empathie avec quiconque, de ne voir que la transcendance des êtres et non le côté obscur des défauts.
S'il devait y avoir une morale de fable, je vous en livre deux :
Si vous voulez que l'on vous juge à l'aune de vos qualités, pardonnez aux défauts.
Vous serez traité à la même mesure que celle que vous accordez aux autres.
Tout ce que j'écris concernant MA vie commencera par cette prase :
La vie tire des balles invisibles qui vous foudroient en plein vol, en plein cœur, nul obstacle n'a pouvoir d'obstacle.
Pour les moments sublimes, la suite
et quelquefois, la grâce vous touche du doigt et vous marque.
Axænce, 2014, 02
-- en meute de 8 loups rassemblés, les 7 à la criée, un seul sait raison gardé, le plus récemment épousé. Hurlements, bavements, grognements. Comment puis-je écpoouter quand leur voix simultanée vomisse leur histoires inventées . Comment, tu n'a pas écouté !
orchestré.
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