— Romans — 032 —2021
Axaence
Worsène
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(:cellnr class=infott:)Réflexion et inspiration :
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(:cellnr class=infott:)Thème :
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(:cellnr class=infott:)Principe :
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(:cellnr class=infott:)Contrainte :
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(:cellnr class=infott:)Durée :
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(:cellnr class=infott:)Date :
(:cell class=w10:)
(:cell class=c1:)Avant 2013
(:cellnr class=infott:)Recueil :
(:cell class=w10:)
(:cell class=c1:)2021
(:cellnr class=infott:)Longueur du texte :
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(:cell class=c1:)2270
(:cellnr class=infott:)Nombre de mots :
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(:cell class=c1:)421
(:cellnr class=infott:)Statut :
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(:cell class=c1:)==========++Projet ++==========
(:cellnr class=infott:)Collection :
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(:cell class=c1:)Roman
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(:cell class=border-bottom:)
(:tableend:)
(:cellnr class=poetxt:)PITCH :
(:cellnr class=poetxt:)L'éternelle jeunesse.
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Je ne sais pas si je suis seul dans ce monde.
Pour rester jeune, il me suffit d'aspirer la force, l'essence vitale d'une autre personne. Le monde est ma nourriture.
Je suis peut-être le dernier survivant. Je ne sais pas si je suis le seul à pouvoir faire cela. Mon don est peut-être unique. Ais-je une conscience ? Je sujis quand même l'ange de la mort. OK je ne détruite qu'une faible partie de chacun, mais je peux aller jusqu'à l'instant fatal, faire de vous une vieille pomme desséchée, une vieille peau sans aune molécule d'eau pouvant tomber en poussière si je vais jusqu'au bout du processus.
De siècle en siècle, je vis en égoïste incapable de sensibilité. Je peux avoir une progéniture, mais aucun d'entre eux n'a hérité de mon don.
J'ai dû me résoudre à les voir mourir de leur belle mort. Au loin… je ne pouvais décemmant pas rester dans une éternelle jeunesse alors que ma descendance se ridait et blanchissait.
Et puis mes héritiers captaient mes avoirs. Il me fallait recommencer à accumuler richesses et à trouver des astuces pour me les transmettre. Ca c'était mon boulot :
Rester jeune
Rester riche
Ne pas me faire prendre
Pour ce dernier point, c'est problématique : le bûcher pour sorcellerie a bien fallit me réduire en cendre, mle terrasser. Si je n'avais eu personne à embrasser, à toucher : COUIC, c'était cuit.
Je me suis déjà fait prendre. Sur le bûcher, les flammes ont fini par rompre mes liens. J'ai touché la sorcière qui était avec moi mais, elle n'avait plus beaucoup d'essence vitale, il m'a fallu sauter des flammes et aspirer le premier venu : panique sur la scène, panique chez les sans bleus, panique chez les bourgeois, panique chez les pauvres, seule la soldathèque a failli m'embraucher, j'ai dessécher le premier cheval venu, quand il fut réduit en cendre, le soldate qui le chevauchait est descendu bien bas, je n'avais plus cette peaubrûlée et noire, j'étais redevenu jeune et altier. PANIQUE au sorcier.
J'ai tout de même pris la poudre d'escampette, le grésillement des flammes sur ma peau n'a pas été sans douleur. Et jamais je n'ai été repris ou condamné : pêché de jeunesse voulant braver les interdits ou prouver qu'il est le plus fort. Ce trait de caractère, je l'ai fait disparaître. Ma sécurité en dépendait.
à écrire