— Texte inspiré par un tableau — 357 —2021

Axaence

New York, huit heures vingt

(:table border=0 width=100% cellspacing=0 cellpadding=0 class=infotab:) (:cellnr class=infott:) (:cell class=w10:) (:cell class=border-top:) (:cellnr class=infott:)Réflexion et inspiration : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)Rencontre avec un tableau (:cellnr class=infott:)Thème : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)- (:cellnr class=infott:)Principe : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)Vers libres (:cellnr class=infott:)Contrainte : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)- (:cellnr class=infott:)Durée : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)- (:cellnr class=infott:)Date : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)Juin 2014 (:cellnr class=infott:)Recueil : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)2021 (:cellnr class=infott:)Longueur du texte : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)781 (:cellnr class=infott:)Nombre de mots : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)127 (:cellnr class=infott:)Peintre : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)Danielle Lebas (:cellnr class=infott:)Nom du tableau : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)NY 2014 (:cellnr class=infott:)Informations : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)Exposition Temps Libre à la Mairie du Havre (:cellnr class=infott:)Statut : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:) (:cellnr class=infott:)Collection : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)Tableau (:cellnr class=infott:) (:cell class=w10:) (:cell class=border-bottom:) (:tableend:)

(:table border=0 width=100% cellspacing=0 cellpadding=0 class=poetab:) (:cellnr class=poedeb:) (:cellnr class=poetxt:)Le nez collé à la vitre arrière d'un taxi jaune,
Je fais connaissance avec cette mégapole.
Demain, je vais dans ma nouvelle école.
Je hume du regard cette brûlante cité.

Le bruit m'envahit, concert de klaxons.
Ambiance de moteurs tournant à fond.
Personne ne s'interpelle, peu de paroles.
Un bourdonnement sourd enveloppe tous les sons.

Les couleurs embellissent mon esprit,
Doucement, je me laisse séduire.
Mon cerveau clignote comme une guirlande.
Toutes les nuances m'appellent, me font de l'oeil.

La nuit tombe comme un brouillard mousseux,
Sur les publicités bariolées.
Les ombres se durcissent,
Un fantôme lumineux me tend les bras.

J'aime déjà cette ville, captivante, ensorcelante.
Je t'ai adoptée,
Identité bouillonnante.
Je fonds de bonheur dans ta splendeur unique

http://www.axaence.fr/uploads/ImageSite/_img-087-x480.jpg (:cellnr class=poefin:)

(:tableend:)