— Texte inspiré par un tableau — 165 —
le phare de l'espace
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(:cellnr class=infott:)Réflexion et inspiration :
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(:cell class=c1:)Rencontre avec un tableau
(:cellnr class=infott:)Principe :
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(:cell class=c1:)Vers libres
(:cellnr class=infott:)Contrainte :
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(:cell class=c1:)Rimes croisées en ABAB
(:cellnr class=infott:)Durée :
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(:cell class=c1:)1' 26"
(:cellnr class=infott:)Date :
(:cell class=w10:)
(:cell class=c1:)Mai 2014
(:cellnr class=infott:)Longueur du texte :
(:cell class=w10:)
(:cell class=c1:)933
(:cellnr class=infott:)Nombre de mots :
(:cell class=w10:)
(:cell class=c1:)158
(:cellnr class=infott:)
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(:cell class=border-bottom:)
(:tableend:)
(:table border=0 width=100% cellspacing=0 cellpadding=0 class=poetab:)
(:cellnr class=poedeb:)
(:cellnr class=poetxt:)Comme sur la Terre, Ô ma planète adorée,
Les ports de l'espace ont besoin d'un chenal,
Au tracé bien délimité, aux contours dessinés,
Pour diriger les visiteurs et leur vaisseau spacial.
Il en est de l'espace comme de nos océans,
Aux voyages réguliers, un parcours est imposé.
Autour des planètes, le commerce est fréquent,
La traque aux obstacles devient priorité.
Les phare de l'espace ont chacun leur gardienne.
Le petit ilôt semble perdu dans le ciel étoilé.
La lumière est allumée et les fréquences préviennent,
Gare aux trous noirs à gauche de la Voie Lactée.
Atmosphère recréée, l'oxygène est brassée,
Par quantité, elle est exhalée par l'antique moulin.
L'humain, les arbres, les animaux esseulés,
Gardent ce temple accroché aux confins.
Sur Terre cette halte a été fabriquée,
Remorquée comme les plateformes pétrolières.
Dans deux cents ans, elle sera recyclée,
et enfin j'aurai fini cette mission dont je suis si fière.
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