Historique de Scotto-carey.Poesie-les-bovides
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mercredi 21-mai-2014
par Kisqo -
Lignes 1-88 ajoutées:
— Poesie — 025 —
Scotto Carey
Les bovidés
(:table border=0 width=100% cellspacing=0 cellpadding=0 class=infotab:)
(:cellnr class=infott:)
(:cell class=w10:)
(:cell class=border-top:)
(:cellnr class=infott:)Réflexion et inspiration :
(:cell class=w10:)
(:cell class=c1:)-
(:cellnr class=infott:)Principe :
(:cell class=w10:)
(:cell class=c1:)-
(:cellnr class=infott:)Contrainte :
(:cell class=w10:)
(:cell class=c1:)-
(:cellnr class=infott:)Date :
(:cell class=w10:)
(:cell class=c1:)Avril 2014
(:cellnr class=infott:)Longueur du texte :
(:cell class=w10:)
(:cell class=c1:)948
(:cellnr class=infott:)Nombre de mots :
(:cell class=w10:)
(:cell class=c1:)182
(:cellnr class=infott:)
(:cell class=w10:)
(:cell class=border-bottom:)
(:tableend:)
(:table border=0 width=100% cellspacing=0 cellpadding=0 class=poetab:)
(:cellnr class=poedeb:)
(:cellnr class=poetxt:)C’est peu dire d’abord
D’imaginer le transport
J’aspire encore une bouffée d’air
Et ils me transfèrent
Je vois un couloir plus loin
Et j’ai longé un mur, contraint
Je n’ai rien connu de tel avant
Je suis aligné dans le rang
Je suis fait pour être libre
Les prairies et les pommiers fleuris
Ces hommes de barbarie
Une porte se referme derrière moi
J’entends des râles
Ils tombent sous leur poids
Je vais subir ce bal
Je suis fait pour être libre
Les prairies et les pommiers fleuris
Ces hommes de barbarie
Ils m’ont plaqué dans leur loge
Passé le cou dans l’entrave
Ils ont tailladé grande ma gorge
Pendant que j’en bave
Je n’avais jamais entendu de criminels
Dans la nature
Ils sont partout
Ces hommes de barbarie
Barbarie
Je suis délivré à présent
De ces silhouettes de potiron
Sur un socle tournant
Ils m’ont basculé au plafond
Je n’avais jamais entendu de criminels
Dans la nature
Ils sont partout
Ces hommes de barbarie
Leur longue maladie
(:cellnr class=poefin:)
(:tableend:)