— Texte inspiré par un tableau — 056 —

Scotto Carey

Tempête au Havre

(:table border=0 width=100% cellspacing=0 cellpadding=0 class=infotab:) (:cellnr class=infott:) (:cell class=w10:) (:cell class=border-top:) (:cellnr class=infott:)Réflexion et inspiration : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)Rencontre avec un tableau (:cellnr class=infott:)Principe : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)- (:cellnr class=infott:)Contrainte : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)- (:cellnr class=infott:)Date : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)Avril 2014 (:cellnr class=infott:)Longueur du texte : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)717 (:cellnr class=infott:)Nombre de mots : (:cell class=w10:) (:cell class=c1:)133 (:cellnr class=infott:) (:cell class=w10:) (:cell class=border-bottom:) (:tableend:)

(:table border=0 width=100% cellspacing=0 cellpadding=0 class=poetab:) (:cellnr class=poedeb:) (:cellnr class=poetxt:)Ce tableau illustrant la sortie d'une abeille dans le port du Havre par mauvais temps cherche peut-être à exprimer la brutalité des éléments face à la survie des espèces. Le remorqueur se place tel un homme qui se mesure au monde dans un duel implacable, ce qui porte à croire que l'homme dans son isolement n'est qu'un passage dans l'Univers et ses problèmes tendent à la trivialité et au peu d'importance face à une nature immuable, et seigneur de la destinée humaine.

La toile qui montre donc un ciel orageux nous indique que le temps n'est pas figé mais au contraire passant inéluctablement, ce qui nous renvoie à la fluidité de l'existence, ô combien précieuse pour la vie mouvante de la conscience par exemple.

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