17 septembre 2013
6h00
Mardi.
Plan synthétique
• Alioth se réveille et ne regrette pas de s'être couché très tôt. Il se dégrise des profondeurs du sommeil, s'étire, baille, décontracte tout ses muscles. Et si un enfant était dans cette maison, serait-il déjà réveillé ? Irait-il le voir dormir dans sa chambre ? Sera-t-il adopté ou aura-t-il une compagne ? Que c'est frustrant de ne rien voir dans son propre avenir !
• C'est le grand jour.
• Des ombres se promènent dans la maison
14h00.
• V arrive
• Alioth cuisine
• V aussi (récit cuisine + affaire)
• Rappel de tout ce qui concerne "l'affaire".
• Comment place-t-on les participants ?
18h00.
Les participants arrivent.
• 1 Rosa - à l'heure
• 2 Ambre Dusseme - à l'heure
• 3 Sylvie Rolidiesse 18h10 arrive en même que 3
• 4 Herbert Guesat 18h10 arrive en même que 4, se rencontre au portail. Ils ont garé leur voiture l'une derrière l'autre. Découvriront qu'ils habitent le meme quartier.
• 5 Claudius Sanpré, en retard, hésitait 18h40. A appaelé pour prévenir. A peur.
• Buffet
Etes-vous croyant ? Pas nécessaire, mais aide pour le recueillement, la méditation.
20h00.
• Ils entrent dans la pièce mystique.
• Chacun aide pour allumer toutes les bougies
— Ha là c'est sûr on est dans l'ambiance
Tout le monde se déplace avec Alioth, il coupe le compteur électrique.
— 3-4 h ne poseront pas de problèmes
Chacun a une lampe torche, histoire d'être rassuré
• Chacun prend sa place
• V rappelle le rituel, il est très didactique
• Ne se passe rien avant 21h
• Impatience des participants
• Relâchement de la concentration
• Café ou thé ?
• Non, ça n'empêcha pas les esprits de venir
• Reprise
• Le café froid de 3 qui était devenu froid, est à nouveau chaud
_ C'est votre tasse qui fait ça ?
• Non manifestation
• — Esprit es-tu là ? Frappe un coup pour oui !
— Un coup
• Faut toujours leur répéter cette phrase, à force ils doivent la savoir !
• des coup énervés comme au théâtre, puis 3 coups.
• — La ferme connard, on t'as dit qu'il fallait être poli avec eux !
• — C'était juste une question !
• — Nous te demandons pardon, esprit es-tu là ?
• — Rien
• — Idiot, si c'était ma femme ? Si c'était la tienne ? Moi je prends ça au sérieux.
• — Je plaisantais, j'ai un peu la trouille. Pardon à l'esprit, il sait que je veux parler à ma femme…
• Un coup.
…