Aurora
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Historique de Seleina.Textes-courts-comment-est-votre-separation
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mercredi 21-mai-2014
par Kisqo -
Ligne 14 Modifiée:
(:table border=0 width=480 cellspacing=0 cellpadding=0 class=poetab:)
en:
(:table border=0 width=100% cellspacing=0 cellpadding=0 class=poetab:)
mercredi 21-mai-2014
par Kisqo -
Ligne 14 Modifiée:
(:table border=0 width=560 cellspacing=0 cellpadding=0 class=poetab:)
en:
(:table border=0 width=480 cellspacing=0 cellpadding=0 class=poetab:)
vendredi 09-mai-2014
par Kisqo -
Lignes 1-6 Modifiées:
— Textes poétiques —
Seleina
(:comment 1000:)
en:
— Textes courts —
Séleina
(:comment 007:)
Lignes 12-44 Modifiées:
Contrainte : Texte sur le thème du titre
(:table border=0 cellspacing=0 cellpadding=0 class=poetab:)
(:cellnr align=justify class=poedeb:)
(:cellnr align=justify class=poetxt:)Moi — Tu avais reçu et entendu ma supplique amoureuse.
Toi — Tu pensais au mariage avec neuf ans d'avance sur la société qui n'était pas encore prête.
Moi — Repoussant ce projet aliénant.
Toi — Valétudinaire, bipolaire.
Moi — Lunaire ; mon inconscience ; te réifier.
Toi — Dénonçant mon hédonisme.
Moi — Aveugle et sourde à ton raisonnement aporétique
Toi — A chaque pique, je me rembrunis ; ton frère scandaleusement et outrageusement te lavait le cerveau.
Moi — Sentant poindre le désastre.
Toi — Me recueillant une dernière fois dans ta couche, tu me décoches une flèche.
Moi —Oiseau blessé, habillée d'une chemise de nuit blanche souillée tel l'harfang polaire dont le plumage est maculé de sang écarlate.
Toi — Dont les lèvres cerise lâchent acrimonies, diatribes pour me faire plier et rendre grâce.
Moi — J'absorbe comme une éponge usée, gonflée de douleur mais aussi d'orgueil car pour la première fois j'existe et me rebelle.
Toi — Dans la nuit hurlante.
Moi — Dont les larmes emplissent mon corps tendu. Ton petit compagnon canin assiste impuissant à cette scène pathétique.\\
en:
Contrainte : Texte imaginé sur un titre imposé
(:table border=0 width=560 cellspacing=0 cellpadding=0 class=poetab:)
(:cellnr class=poedeb:)
(:cellnr class=poetxt:)Moi — Tu avais reçu et entendu ma supplique amoureuse. Toi — Tu pensais au mariage avec neuf ans d'avance sur la société qui n'était pas encore prête. Moi — Repoussant ce projet aliénant. Toi — Valétudinaire, bipolaire. Moi — Lunaire ; mon inconscience ; te réifier. Toi — Dénonçant mon hédonisme. Moi — Aveugle et sourde à ton raisonnement aporétique Toi — A chaque pique, je me rembrunis ; ton frère scandaleusement et outrageusement te lavait le cerveau. Moi — Sentant poindre le désastre. Toi — Me recueillant une dernière fois dans ta couche, tu me décoches une flèche. Moi —Oiseau blessé, habillée d'une chemise de nuit blanche souillée tel l'harfang polaire dont le plumage est maculé de sang écarlate. Toi — Dont les lèvres cerise lâchent acrimonies, diatribes pour me faire plier et rendre grâce. Moi — J'absorbe comme une éponge usée, gonflée de douleur mais aussi d'orgueil car pour la première fois j'existe et me rebelle. Toi — Dans la nuit hurlante. Moi — Dont les larmes emplissent mon corps tendu. Ton petit compagnon canin assiste impuissant à cette scène pathétique.\\
Lignes 32-38 Modifiées:
Plus jamais nous jouirons de nos ébats
Toi — Amour et amitié en dissonance.
Moi — Tu comptais plus à mes yeux que toi qui m'aimais moins.
Moi — Claquant la porte et m'enfuyant dans l'aube éthérée, plus tard, je souffrais des meurtrissures de l'absence où les mots et les souvenirs me déchiraient durant des années.\\
en:
Plus jamais nous jouirons de nos ébats Toi — Amour et amitié en dissonance. Moi — Tu comptais plus à mes yeux que toi qui m'aimais moins. Moi — Claquant la porte et m'enfuyant dans l'aube éthérée, plus tard, je souffrais des meurtrissures de l'absence où les mots et les souvenirs me déchiraient durant des années.\\
Lignes 37-49 Modifiées:
Lorsque huit ans plus tard, incrédule, je te revis.
Toi — Dans le même tram à quelques pas de moi.
Moi — Hagarde, qui avait cessé d'aller partout où tu n'es pas, je t'avais presque oublié.
Toi — Hautaine, lointaine, ingnorante de ma personne. Je sortis brusquement du tramway encore immobile après ce refus d'aller jusqu'à toi pour échouer finalement dans la neige.
Je me remémorais la chanson entêtante de Lykke Li "I follow you deeply baby. I follow river."
Mon plus grand triomphe : m'arracher à l'emprise de cet amour qui n'a plus cours et qui portait ton nom à présent jaunis.
(:cellnr class=poefin:)
en:
Lorsque huit ans plus tard, incrédule, je te revis. Toi — Dans le même tram à quelques pas de moi. Moi — Hagarde, qui avait cessé d'aller partout où tu n'es pas, je t'avais presque oublié. Toi — Hautaine, lointaine, ingnorante de ma personne. Je sortis brusquement du tramway encore immobile après ce refus d'aller jusqu'à toi pour échouer finalement dans la neige. Je me remémorais la chanson entêtante de Lykke Li "I follow you deeply baby. I follow river. Mon plus grand triomphe : m'arracher à l'emprise de cet amour qui n'a plus cours et qui portait ton nom à présent jaunis.
(:cellnr class=poefin:)
vendredi 25-avril-2014
par Kisqo -
Ligne 63 Modifiée:
Je me remémorais la chanson entêtante de Lykke Li "I follow you deeply baby. I follow river.
en:
Je me remémorais la chanson entêtante de Lykke Li "I follow you deeply baby. I follow river."
dimanche 30-mars-2014
par Kisqo -
Lignes 15-16 Modifiées:
(:cellnr class=poedeb:)
(:cellnr class=poetxt:)Moi — Tu avais reçu et entendu ma supplique amoureuse.
en:
(:cellnr align=justify class=poedeb:)
(:cellnr align=justify class=poetxt:)Moi — Tu avais reçu et entendu ma supplique amoureuse.
dimanche 30-mars-2014
par Kisqo -
Lignes 2-3 ajoutées:
dimanche 30-mars-2014
par Kisqo -
Lignes 64-66 Modifiées:
(:cellnr class=poefin:) (:tableend:)
en:
(:cellnr class=poefin:)
(:tableend:)
dimanche 30-mars-2014
par Kisqo -
Lignes 1-2 Modifiées:
en:
Ligne 8 Modifiée:
en:
Lignes 14-16 Modifiées:
(:cellnr class=poetxt:)
Moi — Tu avais reçu et entendu ma supplique amoureuse.
en:
(:cellnr class=poetxt:)Moi — Tu avais reçu et entendu ma supplique amoureuse.
Lignes 64-67 Modifiées:
(:cellnr class=poefin:)
(:tableend:)
en:
(:cellnr class=poefin:) (:tableend:)
dimanche 30-mars-2014
par Kisqo -
Ligne 60 ajoutée:
dimanche 30-mars-2014
par Kisqo -
Lignes 43-46 Modifiées:
Moi — Dont les larmes emplissent mon corps tendu. Ton petit compagnon canin assiste impuissant à cette scène pathétique.
Plus jamais nous ne nous parlerons.
en:
Moi — Dont les larmes emplissent mon corps tendu. Ton petit compagnon canin assiste impuissant à cette scène pathétique. Plus jamais nous ne nous parlerons.\\
Lignes 51-54 Modifiées:
Moi — Claquant la porte et m'enfuyant dans l'aube éthérée, plus tard, je souffrais des meurtrissures de l'absence où les mots et les souvenirs me déchiraient durant des années.
Je guérissais lentement, remplissant peu à peu la béance de la séparation.
en:
Moi — Claquant la porte et m'enfuyant dans l'aube éthérée, plus tard, je souffrais des meurtrissures de l'absence où les mots et les souvenirs me déchiraient durant des années. Je guérissais lentement, remplissant peu à peu la béance de la séparation.\\
Ligne 60 Modifiée:
en:
dimanche 30-mars-2014
par Kisqo -
Lignes 21-44 Modifiées:
Toi — Valétudinaire, bipolaire. Moi — Lunaire ; mon inconscience ; te réifier. Toi — Dénonçant mon hédonisme. Moi — Aveugle et sourde à ton raisonnement aporétique Toi — A chaque pique, je me rembrunis ; ton frère scandaleusement et outrageusement te lavait le cerveau. Moi — Sentant poindre le désastre. Toi — Me recueillant une dernière fois dans ta couche, tu me décoches une flèche. Moi —Oiseau blessé, habillée d'une chemise de nuit blanche souillée tel l'harfang polaire dont le plumage est maculé de sang écarlate. Toi — Dont les lèvres cerise lâchent acrimonies, diatribes pour me faire plier et rendre grâce. Moi — J'absorbe comme une éponge usée, gonflée de douleur mais aussi d'orgueil car pour la première fois j'existe et me rebelle. Toi — Dans la nuit hurlante. Moi — Dont les larmes emplissent mon corps tendu. Ton petit compagnon canin assiste impuissant à cette scène pathétique. Plus jamais nous ne nous parlerons. Plus jamais nous jouirons de nos ébats Toi — Amour et amitié en dissonance. Moi — Tu comptais plus à mes yeux que toi qui m'aimais moins. Moi — Claquant la porte et m'enfuyant dans l'aube éthérée, plus tard, je souffrais des meurtrissures de l'absence où les mots et les souvenirs me déchiraient durant des années. Je guérissais lentement, remplissant peu à peu la béance de la séparation. Lorsque huit ans plus tard, incrédule, je te revis. Toi — Dans le même tram à quelques pas de moi. Moi — Hagarde, qui avait cessé d'aller partout où tu n'es pas, je t'avais presque oublié. Toi — Hautaine, lointaine, ingnorante de ma personne. Je sortis brusquement du tramway encore immobile après ce refus d'aller jusqu'à toi pour échouer finalement dans la neige. Je me remémorais la chanson entêtante de Lykke Li "I follow you deeply baby. I follow river. Mon plus grand triomphe : m'arracher à l'emprise de cet amour qui n'a plus cours et qui portait ton nom à présent jaunis.\\
en:
Toi — Valétudinaire, bipolaire.
Moi — Lunaire ; mon inconscience ; te réifier.
Toi — Dénonçant mon hédonisme.
Moi — Aveugle et sourde à ton raisonnement aporétique
Toi — A chaque pique, je me rembrunis ; ton frère scandaleusement et outrageusement te lavait le cerveau.
Moi — Sentant poindre le désastre.
Toi — Me recueillant une dernière fois dans ta couche, tu me décoches une flèche.
Moi —Oiseau blessé, habillée d'une chemise de nuit blanche souillée tel l'harfang polaire dont le plumage est maculé de sang écarlate.
Toi — Dont les lèvres cerise lâchent acrimonies, diatribes pour me faire plier et rendre grâce.
Moi — J'absorbe comme une éponge usée, gonflée de douleur mais aussi d'orgueil car pour la première fois j'existe et me rebelle.
Toi — Dans la nuit hurlante.
Moi — Dont les larmes emplissent mon corps tendu. Ton petit compagnon canin assiste impuissant à cette scène pathétique.
Plus jamais nous ne nous parlerons.
Plus jamais nous jouirons de nos ébats
Toi — Amour et amitié en dissonance.
Moi — Tu comptais plus à mes yeux que toi qui m'aimais moins.
Moi — Claquant la porte et m'enfuyant dans l'aube éthérée, plus tard, je souffrais des meurtrissures de l'absence où les mots et les souvenirs me déchiraient durant des années.
Je guérissais lentement, remplissant peu à peu la béance de la séparation.
Lorsque huit ans plus tard, incrédule, je te revis.
Toi — Dans le même tram à quelques pas de moi.
Moi — Hagarde, qui avait cessé d'aller partout où tu n'es pas, je t'avais presque oublié.
Toi — Hautaine, lointaine, ingnorante de ma personne. Je sortis brusquement du tramway encore immobile après ce refus d'aller jusqu'à toi pour échouer finalement dans la neige.
Je me remémorais la chanson entêtante de Lykke Li "I follow you deeply baby. I follow river.
Mon plus grand triomphe : m'arracher à l'emprise de cet amour qui n'a plus cours et qui portait ton nom à présent jaunis.
dimanche 30-mars-2014
par Kisqo -
Lignes 15-17 Modifiées:
Moi — Tu avais reçu et entendu ma supplique amoureuse.
Toi — Tu pensais au mariage avec neuf ans d'avance sur la société qui n'était pas encore prête.
Moi — Repoussant ce projet aliénant.\\
en:
Moi — Tu avais reçu et entendu ma supplique amoureuse.
Toi — Tu pensais au mariage avec neuf ans d'avance sur la société qui n'était pas encore prête.
Moi — Repoussant ce projet aliénant.
dimanche 30-mars-2014
par Kisqo -
Lignes 14-16 Modifiées:
(:cellnr class=poetxt:)Moi — Tu avais reçu et entendu ma supplique amoureuse. Toi — Tu pensais au mariage avec neuf ans d'avance sur la société qui n'était pas encore prête. Moi — Repoussant ce projet aliénant.\\
en:
(:cellnr class=poetxt:)
Moi — Tu avais reçu et entendu ma supplique amoureuse.
Toi — Tu pensais au mariage avec neuf ans d'avance sur la société qui n'était pas encore prête.
Moi — Repoussant ce projet aliénant.\\
dimanche 30-mars-2014
par Kisqo -
Lignes 1-46 ajoutées:
— —
(:comment 1000:)
Comment est votre séparation ?
Date : Mars 2014
Principe : -
Réflexion et inspiration : -
Contrainte : Texte sur le thème du titre
(:table border=0 cellspacing=0 cellpadding=0 class=poetab:)
(:cellnr class=poedeb:)
(:cellnr class=poetxt:)Moi — Tu avais reçu et entendu ma supplique amoureuse. Toi — Tu pensais au mariage avec neuf ans d'avance sur la société qui n'était pas encore prête. Moi — Repoussant ce projet aliénant. Toi — Valétudinaire, bipolaire. Moi — Lunaire ; mon inconscience ; te réifier. Toi — Dénonçant mon hédonisme. Moi — Aveugle et sourde à ton raisonnement aporétique Toi — A chaque pique, je me rembrunis ; ton frère scandaleusement et outrageusement te lavait le cerveau. Moi — Sentant poindre le désastre. Toi — Me recueillant une dernière fois dans ta couche, tu me décoches une flèche. Moi —Oiseau blessé, habillée d'une chemise de nuit blanche souillée tel l'harfang polaire dont le plumage est maculé de sang écarlate. Toi — Dont les lèvres cerise lâchent acrimonies, diatribes pour me faire plier et rendre grâce. Moi — J'absorbe comme une éponge usée, gonflée de douleur mais aussi d'orgueil car pour la première fois j'existe et me rebelle. Toi — Dans la nuit hurlante. Moi — Dont les larmes emplissent mon corps tendu. Ton petit compagnon canin assiste impuissant à cette scène pathétique. Plus jamais nous ne nous parlerons. Plus jamais nous jouirons de nos ébats Toi — Amour et amitié en dissonance. Moi — Tu comptais plus à mes yeux que toi qui m'aimais moins. Moi — Claquant la porte et m'enfuyant dans l'aube éthérée, plus tard, je souffrais des meurtrissures de l'absence où les mots et les souvenirs me déchiraient durant des années. Je guérissais lentement, remplissant peu à peu la béance de la séparation. Lorsque huit ans plus tard, incrédule, je te revis. Toi — Dans le même tram à quelques pas de moi. Moi — Hagarde, qui avait cessé d'aller partout où tu n'es pas, je t'avais presque oublié. Toi — Hautaine, lointaine, ingnorante de ma personne. Je sortis brusquement du tramway encore immobile après ce refus d'aller jusqu'à toi pour échouer finalement dans la neige. Je me remémorais la chanson entêtante de Lykke Li "I follow you deeply baby. I follow river. Mon plus grand triomphe : m'arracher à l'emprise de cet amour qui n'a plus cours et qui portait ton nom à présent jaunis.
(:cellnr class=poefin:)
(:tableend:)
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