Entre, mon âme voyage et tressaille dans l’infini des contrées inexplorées.
Le rythme de la vie entre dans mes veines, j’ai du mal mais je m’abandonne à la lumière ; la joie étreint les convives à mes côtés.
Ils rient, ripaillent et je m’anime vers une frénésie que je ne connaissais pas ; vais-je enfin surgir de moi-même ?
Les amis, la sève de la vie vers laquelle je tends mais qui me file entre les doigts.
Suis-je vivante ou tétanisée ; une chose est sûre la musique puise au plus profond de moi, des vibrations silencieuses insoupçonnées.
Arriverais-je à être au monde.
Un long chemin emprunté continu à puiser des impressions obscures.
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